Publié par Sébastien Reverdy et Julien Fournier, co-fondateurs de Betoobe, janvier 2023

Le dernier rapport du GIEC (avril 2022) a renforcé nos inquiétudes sur l’avenir du climat et relancé les débats sur l’importance d’agir pour réduire nos émissions de CO2. Les entreprises qui tentent de participer activement à la réduction de nos émissions de CO2 sont de plus en plus nombreuses.

Pour les entreprises cependant, l’enjeu est double : participer à la réduction de leur impact environnemental négatif, mais également répondre aux exigences de leurs collaborateurs en matière d’engagement et de RSE. En outre, le numérique occupe une place importante de l’empreinte carbone de nos entreprises, notamment à cause de la forte croissance de la consommation. En effet, les appareils mobiles par exemple (comme les smartphones, les tablettes et les ordinateurs portables) sont devenus indispensables et centraux dans nos vies personnelles comme professionnelles. Ils permettent de répondre à des enjeux toujours croissants de mobilité, télétravail et flexibilité de façon plus générale.

Par conséquent, les flottes d’appareils mobiles pèsent lourd dans l’empreinte carbone des entreprises et sont directement concernées par la question de la sobriété numérique.

Les appareils mobiles font partie intégrante des opérations de votre entreprise et de la vie de vos utilisateurs. Lorsqu'il s'agit de gérer votre parc d'appareils mobiles, la fiabilité de l'information est primordiale. Il est donc important de gérer à la fois l’information et votre flotte de mobiles de la façon la plus efficace et sûre possible.

Pour vous, gestionnaires de flottes, une information non fiable entraine une mauvaise gestion de votre flotte de mobiles et apporte son lot de frustrations au quotidien. Pour vos utilisateurs, une mauvaise gestion des appareils mobiles peut entraîner une baisse de productivité et des risques de sécurité des données.

Heureusement, il existe plusieurs mesures que vous pouvez mettre en place pour assurer la fiabilité de l'information et l’efficacité de la gestion de votre parc d'appareils mobiles.

Dans cet article, nous explorons 4 façons d'améliorer la fiabilité de votre parc d'appareils mobiles. Qu'il s'agisse de centraliser l’information ou d’automatiser vos tâches, ces conseils vous aideront à gérer votre parc de mobiles avec plus d’efficacité et de sérénité !

1.      Vérifiez l’exactitude de l’information

En matière de gestion de l’information, le point de départ est la donnée. Une donnée qui n’est pas fiable entraînera une vision de votre flotte qui ne l’est pas non plus. Avant toute chose, il est donc essentiel de vérifier l’exactitude des données de votre flotte de terminaux mobiles (smartphones, tablettes, laptops,…).

Il existe plusieurs catégories d’informations (ou données) que vous pouvez vérifier et qui proviennent de différentes sources, notamment des extranets opérateurs, du MDM, ou de la gestion de flotte en elle-même.

💡 Voici quelques exemples d’informations qu’il est important de vérifier :

  • Sur vos extranets opérateurs :
    • Dates des contrats
    • Dates d’engagements
    • Liste des utilisateurs
    • Attribution des lignes et forfaits aux bons utilisateurs
    • IMEI relevé par l’opérateur sur chaque ligne
  • Sur votre MDM :
    • Statut d’enrôlement des appareils
    • Date de dernière connexion de l’appareil
    • Identification des terminaux utilisés par les utilisateurs (IMEI, N° de Série)
  • Sur votre outil de gestion de flotte :
    • Liste des utilisateurs
    • Attribution des terminaux et accessoires au bon utilisateur

Une fois ces données collectées et vérifiées, contrôlez leur cohérence. Le triptyque utilisateur/ligne/IMEI est une bonne base de départ.

N’oubliez pas également de mettre à jour régulièrement, si nécessaire, les différentes sources de données !

2.      Centralisez l'information de vos différentes sources pour garder une vision complète et à jour de votre flotte

Une fois que l’exactitude de l’information a été vérifiée sur les différentes sources, vous pouvez centraliser l’information sur une plateforme unique pour garder une vision simple et complète de votre flotte.

En effet, l'information est souvent (trop) dispersée pour que l'on puisse avoir une vision réellement claire de sa flotte. Entre le MDM, les extranets opérateurs, l'outil de gestion des utilisateurs/terminaux (Excel ou autre)... et selon la taille de la flotte, les choses peuvent s'emballer rapidement.

Il est donc essentiel de centraliser les données provenant des différentes sources. Vous pourrez ainsi avoir une vision complète de votre flotte, basée sur les données les plus récentes et fiables possible.

💡 Quelques exemples d’informations à centraliser :
- Les informations sur les utilisateurs, les lignes, les terminaux et les accessoires attribués
- Les informations sur l’état d’enrôlement des appareils mobiles
- Les informations sur les mouvements de terminaux et accessoires
- L’historique sur des utilisateurs, lignes, terminaux et accessoires

Ainsi, une fois que vous aurez regroupé toutes les informations sur une seule et même plateforme, vous pourrez gérer votre flotte de façon plus simple et fiable. Vous pourrez identifier rapidement les erreurs et incidents afin de réagir au plus vite et offrir à votre collaborateurs une continuité de service solide.

Quelle plateforme choisir pour centraliser votre information ?

Il existe des plateformes interconnectées de gestion de flotte, dont l’objectif est tant de vous aider à gérer l’intégralité du cycle de vie de vos appareils et utilisateurs que de vous aider à fiabiliser l’information de votre parc. C’est le cas notamment de la plateforme MobileHub que nous avons créée.

MobileHub se connecte aux différents extranets opérateurs, à votre annuaire d’entreprise et à votre MDM pour centraliser l’information et vous permettre de la contrôler.

3.      Automatisez vos tâches récurrentes et chronophages pour limiter les oublis et les erreurs

Une fois que l’information a été vérifiée et centralisée, vous pourrez automatiser vos tâches récurrentes et chronophages. L’automatisation vous permettra de gagner en temps et en efficacité sur des tâches répétitives et chronophages.

Elle participe également à fiabiliser l'information et la gestion de sa flotte de mobiles, car elle permet de limiter les oublis et d’éviter des "loupés" (par exemple, les relances par e-mail pour fluidifier certains processus).

💡 Voici quelques exemples de tâches ou processus que vous pouvez mettre en place pour automatiser la gestion de votre flotte de mobiles :
- La gestion des utilisateurs, terminaux mobiles, accessoires, et forfaits
- Les déploiements et mastérisations de terminaux mobiles (grâce à la planification notamment)
- La gestion des restitutions (avec l’envoi automatique d’e-mails pour relancer les utilisateurs, demander la confirmation de restitution, etc.)
-Les reportings (avec l’envoi automatique d’e-mails à fréquence déterminée à vous-mêmes et/ou vos équipes)

4.      Mettez l’information à la disposition de toutes les parties prenantes

Enfin, une étape importante, et pourtant souvent mise de côté, pour gérer votre flotte de mobile, c’est de mettre les données et informations à la disposition des différentes parties prenantes : gestionnaire de flotte, RSSI, DSI, etc.

Centraliser l’information c’est bien, la mettre à la disposition de toutes les personnes qui en ont besoin, c’est mieux.

💡 Il s’agit par exemple d’informations concernant :
- Les utilisateurs et leurs attributions (terminaux, accessoires, lignes, forfaits,…)
- Les enrôlements dans le MDM
- L’historique des SAV et incidents
- Les reportings globaux de gestion de flotte

L’automatisation mentionnée dans le paragraphe précédent pourra également concerner certaines tâches de ces parties prenantes. Il est donc préférable de leur donner accès à ces informations.

Conclusion

Cet article vous a présenté quelques mesures pour améliorer la fiabilité de l’information de votre flotte de mobiles : vérifier l’exactitude de l’information, centraliser l’information, automatiser les tâches, et partager l’information. En suivant ces quelques étapes, vous atteindrez non seulement une plus forte fiabilité des données, vous pourrez aussi gérer votre flotte de terminaux mobiles de façon plus fluide, rapide et sûre.

Plusieurs outils sont à votre disposition pour cela, comme des solutions MDM, des solutions de gestion de flotte telles que MobileHub, entre autres.

Pour compléter votre suite logicielle, nous vous recommandons également de faire appel à un partenaire spécialisé en gestion de flotte de mobiles qui saura vous accompagner sur un ensemble de services complémentaires : SAV et réparations, fourniture et recyclage de terminaux, support utilisateurs, etc.

Betoobe met à votre disposition une équipe de spécialistes sur tous ces sujets. Contactez-nous pour nous présenter vos problématiques et vos besoins !

Face à la diversification des conditions de travail ces dernières années (travail présentiel, travail hybride, télétravail, déplacements,…), les besoins en équipements des collaborateurs se sont eux-aussi fortement diversifiés.

La généralisation du télétravail, notamment, a amené les entreprises à équiper des utilisateurs distants ou mobile de matériel de travail spécifique : ordinateur portable, smartphone, tablette, accessoires…

Côté usage, les évolutions des comportements et des attentes sont également significatives, avec la montée, par exemple, des usages personnels sur les appareils professionnels, et vice-versa.

Les problématiques de gestion et de protection des utilisateurs distants sont donc aujourd’hui bien réelles pour les gestionnaires de flottes de mobiles et les directions informatiques des entreprises.

De ce fait, quelles sont les étapes d’une gestion efficace et responsable des utilisateurs distants, et quels paramètres doivent être pris en compte ?

Étape n°1 - Définir si la mission de l'utilisateur peut être téléportée

Qui dit diversification des conditions de travail dit également nouvelles exigences de la part des collaborateurs : les attentes sont aujourd'hui fortes pour une plus grande flexibilité dans les horaires et lieux de travail proposés.

Les collaborateurs comme les employeurs voient un réel bénéfice à un travail présentiel à hauteur d’une ou deux journées par semaine. Le reste du temps, les collaborateurs se retrouvent en situation de télétravail ou en déplacements. Ils travaillent donc depuis chez eux, depuis le train, ou depuis des lieux externes (coworking, hôtel,…).

Pour les employeurs, cela implique, en amont, de bien définir les fonctions et les missions qui peuvent réalisées à distance.

Voici quelques paramètres à prendre en compte avant de téléporter une mission selon nous :

  1. La mission est-elle claire et réalisable en télétravail ?
  2. L’organisation est-elle claire et propice au travail à distance ?
  3. Le télétravail doit-il être réduit au travail à domicile ou peut-être être réalisé dans un contexte de plus grande mobilité (déplacements réguliers, diversité des lieux de travail,…) ?
  4. L’utilisateur dispose-t-il d’un environnement, d’une ergonomie et d’un équipement propice au télétravail et/ou au travail hybride avec déplacements réguliers ?
  5. Comment le non-dit et l’effet « machine à café » sera-t-il géré par le management avec les utilisateurs distants ?
  6. Quel sera l’impact de cette flexibilité sur la cybersécurité du collaborateur et de l’entreprise ? Car on ne peut travailler à distance que si on ne met pas en péril la sécurité informatique de l’entreprise et des collaborateurs.

Ce sont tout autant de questions qui permettent de définir si la mission est réalisable ou non à distance, et sous quelles conditions en matière de matériel et ergonomie de travail.

Étape n°2 - Prendre en compte la diversité des environnements de travail

Une fois que les missions réalisables en télétravail ou mobilité ont été définies, il faudra réfléchir à l’ergonomie des environnements de travail.

Il est en effet du ressort de l’entreprise de garantir à ses collaborateurs des conditions de travail exemplaires en toutes circonstances.

Nous pensons ici, entre autres, à :

Nous recommandons également aux gestionnaires de flottes de mettre en place une organisation centralisée, tant des appareils mobiles que des utilisateurs, pour que les collaborateurs disposent d'une configuration de travail identique en présentiel et en distanciel.

Cela signifie que la gestion des différents endpoints (tous appareils mobiles confondus) devient une priorité pour les gestionnaires de flottes et doit prendre en compte des questions devenues centrales :

💡 « Endpoint » :

Un endpoint désigne un terminal d’un utilisateur final, qui peut être connecté à un réseau comprenant des ordinateurs de bureau, des ordinateurs portables, des téléphones mobiles, des tablettes et des serveurs. La liste des endpoints ne cesse de s’allonger et inclut désormais des éléments moins traditionnels, tels que des appareils photo, des appareils électroniques, des montres intelligentes, des dispositifs de suivi de la santé, des systèmes de navigation et d’autres terminaux pouvant être connectés à Internet.

La gestion unifiée des terminaux (UEM, Unified Endpoint Management) permet au département informatique de gérer, sécuriser et déployer les ressources et applications d'une entreprise sur n'importe quel terminal à partir d'une console unique.

Étape 3 : Mieux outiller pour répondre à des enjeux de praticité et de sécurité

Dans ce nouveau contexte de mobilité, le bon outillage des utilisateurs finaux et distants est crucial. Mais l’outillage des gestionnaires de flottes mobiles l’est tout autant.

Les enjeux de la gestion des flottes de mobiles sont devenus multiples :

Côté matériel et équipement

Nous recommandons aux gestionnaires d’adapter leur choix d’équipement mobile aux usages et aux métiers des collaborateurs.

Un commercial mobile et un technicien de terrain n’auront pas les mêmes besoins en matière d’appareil (ordinateur portable ou non, renforcé ou non), de forfait (appels internationaux ou non, accès à internet ou non), ou encore d’accessoires (casque et micro ou non).

Cette démarche peut également intégrer une dimension durable et responsable à plusieurs niveaux :

Côté cybersécurité et protection des données

Pendant la phase d’usage des appareils par les collaborateurs, quels que soient les usages, les lieux de travail ou les appareils mobiles utilisés, aucun compromis de doit être fait sur la cybersécurité.

💡 Fin 2021, les collaborateurs hybrides ont ainsi été ciblés par plus de 100 millions de menaces e-mail quotidiennes (le fameux “phishing”, ou hameçonnage)

💡 En 2021, le nombre de routeurs destinés aux télétravailleurs a également augmenté deux fois plus vite que les déploiements sur site, témoignant d'une volonté des entreprises de sécuriser les réseaux domestiques

💡 Entre avril et octobre 2021, le nombre d'appareils se connectant aux réseaux Wi-Fi au bureau a augmenté de 61 %, en particulier dans les secteurs de l'enseignement supérieur, des services professionnels et de l'hôtellerie

La mise en place de logiciels complémentaires de pilotage de la cybersécurité et des usages doit donc être mobilisés, comme les solutions MDM (Mobile Device Management) et MTD (Mobile Threat Defense). Ensemble, ils permettent de garantir une meilleure sécurité informatique au niveau des différents appareils mobiles.

Nous recommandons bien évidemment, en parallèle, la mise en place d'une politique de sensibilisation des collaborateurs sur les comportements vertueux, dans une logique de prévention (formations MOOCs, opérations de prévention et sensibilisation, etc.).

Aucun compromis ne doit être fait non plus sur la sécurité des données en fin de vie lors du reconditionnement ou du recyclage des appareils : chez Betoobe, nous procédons à un effacement certifié ANSSI de toutes les données présentes sur les terminaux.

Des questions ? Besoin de matériel ? Besoin d’un accompagnement cybersécurité ?

Betoobe accompagne les gestionnaires de flottes et agit en support permanent pour garantir la satisfaction des utilisateurs finaux, notamment en cas de problème avec leur smartphone ou ordinateur.

Notre plateforme MobileHub et nos services complémentaires prennent en compte l’ensemble du cycle de vie des terminaux et permettent aux gestionnaires de flotte de gagner du temps et de se concentrer sur les tâches à valeur ajoutée !

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Le dernier rapport du GIEC (avril 2022) a renforcé nos inquiétudes sur l’avenir du climat et relancé les débats sur l’importance d’agir pour réduire nos émissions de CO2.

Les entreprises qui tentent de participer activement à la réduction de nos émissions de CO2 sont de plus en plus nombreuses.

Pour les entreprises cependant, l’enjeu est double : participer à la réduction de leur impact environnemental négatif, mais également répondre aux exigences de leurs collaborateurs en matière d’engagement et de RSE.

En outre, le numérique occupe une place importante de l’empreinte carbone de nos entreprises, notamment à cause de la forte croissance de la consommation.

En effet, les appareils mobiles par exemple (comme les smartphones, les tablettes, et les ordinateurs portables) sont devenus indispensables et centraux dans nos vies personnelles comme professionnelles.

Ils permettent de répondre à des enjeux toujours croissants de mobilité, télétravail et flexibilité de façon plus générale.

Par conséquent, les flottes d’appareils mobiles pèsent lourd dans l’empreinte carbone des entreprises et sont directement concernées par la question de la sobriété numérique.

La fabrication de nos appareils numériques représente :

L’empreinte environnementale de la fabrication des appareils numériques ainsi que la raréfaction des ressources naturelles appellent à une action immédiate.

Le nouveau défi, et la nouvelle nécessité, pour les entreprises est donc désormais de faire preuve de sobriété et d’allonger la durée de vie des appareils mobiles.

Mais concrètement, que représente la sobriété numérique pour les entreprises et comment l’aborder ?

La sobriété numérique des entreprises, késako ?

L’objectif de la sobriété numérique est de limiter l’usage du numérique pour en réduire l’impact négatif sur l’environnement.

Mais souvent, lorsque l’on pense « sobriété numérique », on pense « acheter moins » : la démarche va en réalité beaucoup plus loin.

📈 Car si la fabrication de nos appareils numériques représente 44% des gaz à effet de serre émis par le numérique, la consommation énergétique globale du secteur numérique est à l’origine de 3.4% des émissions de gaz à effet de serre (davantage que le transport aérien) et devrait passer à 7.6% à l’horizon 2025 (source : The Shift Project).

Ainsi, la sobriété numérique concerne en réalité tout le cycle de vie des appareils mobiles : l’acquisition, l’usage et la fin de vie. Elle concerne à la fois le matériel électronique en lui-même et les usages qui en sont faits.

Que faire, concrètement, pour appliquer la sobriété numérique aux flottes de mobiles d’entreprise ?

La base pour faire preuve de sobriété de façon directe en matière d’appareils mobiles, c’est de n’acheter que les appareils mobiles dont vous avez besoin. Mais il existe plusieurs autres manières pour faire preuve de sobriété de façon indirecte, en allongeant au maximum la durée de vie des appareils mobiles.

Côté matériel

Cela peut paraitre anodin, mais effectivement, n’acheter que les appareils dont on a réellement besoin, c’est le point de départ absolu de la sobriété numérique.

📈 En réparant un smartphone au lieu d’en racheter un neuf, c’est en moyenne 221kg de matières premières qui sont protégées.

Pensez donc à mettre à profits les réparations et le SAV pour vos différents terminaux mobiles (smartphones, tablettes, laptops,…) !

Lorsque l’acquisition d’appareils mobiles s’avère nécessaire, une autre manière de faire preuve de sobriété numérique et de réduire considérablement son impact environnemental négatif est de se fournir en terminaux reconditionnés.

💡 Souvenez-vous que les appareils reconditionnés sont, eux aussi, garantis de 1 à 2 ans (comme le neuf), qu’ils sont jusqu'à 50 voire 70% moins cher que le neuf, et qu’ils ont bénéficié d’un service professionnel pour vérifier leur état et effacer leurs données. Que des avantages !

Faire recycler ses terminaux mobiles, que ce soient des smartphones, tablettes ou ordinateurs, permet de limiter les déchets produits et de réinjecter des ressources et des matières premières dans le cycle de fabrication des terminaux – notamment pour en produire de nouveaux, proposer du matériel reconditionné, et donner une seconde vie à des terminaux qui sont remis sur le marché.

Mais il ne faut pas oublier que le recyclage des appareils mobiles ne doit arriver qu’en dernier recours, après être déjà passé par les étapes des réparations et de l’optimisation des usages.

Côté usages

On a parfois tendance à l’oublier, mais bien protéger ses appareils mobiles contre de potentielles cyberattaques permet également d’allonger leur durée de vie, et participe donc à la sobriété numérique.

Pensez donc à faire des mises à jour régulières (OS et applications), enrôler les appareils mobiles dans un MDM, utiliser un MTD en complément du MDM, etc.

La sécurité physique des appareils mobiles permet également d’allonger de leur durée de vie.

Pensez à équiper les mobiles de votre flotte de coques, films de protection, verres trempés, etc. pour qu’ils résistent aux chutes, à l’eau et à une utilisation quotidienne intense et qu’ils restent « en forme » plus longtemps. Dans certains cas, vos collaborateurs pourraient même bénéficier d’appareils durcis ou renforcés.

Autres aspects à prendre en compte lorsque l’on parle de sobriété numérique : les types de connexion et de stockage utilisés.

Source : Qu’est-ce qu’on fait ?

Pensez ainsi à sensibiliser vos collaborateurs et à leur demander de privilégier le wifi à la 4G et le stockage local au cloud.

Conclusion

Le dernier rapport du GIEC (avril 2022) a renforcé nos inquiétudes sur l’avenir du climat et relancé les débats sur l’importance d’agir pour réduire nos émissions de CO2.

Les entreprises ont divers moyens à leur disposition pour agir et pour réduire l’impact environnemental négatif, notamment la sobriété numérique. Et les appareils mobiles ont un réel poids dans la sobriété numérique des entreprises.

La sobriété numérique dans les flottes de terminaux de mobiles ne concerne cependant pas uniquement l’acquisition des terminaux, mais également leur usage et leur fin de vie.

Il existe en outre plusieurs moyens de faire preuve de sobriété numérique tout au long du cycle de vie des appareils mobiles :

Les entreprises doivent ainsi faire de la RSE une priorité dans la gestion des flottes de mobiles et dans l’IT de façon plus générale, sans oublier de prendre en compte l’intégralité du cycle de vie de leurs terminaux, quels qu’ils soient.

Betoobe accompagne les organisations dans leur RSE et leur flotte responsable

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Une question, un besoin ?

La généralisation du télétravail amène les entreprises à équiper des utilisateurs distants, temporaires ou constants, de matériel de travail spécifique : ordinateur portable, smartphone... Comment répondre à ce nouveau challenge de mobilité tout en respectant les enjeux économiques et écologiques ?

Découvrez la tribune signée Sébastien Reverdy, président et co-fondateur de Betoobe, spécialiste de la gestion de flotte mobile, parue dans Décisions-Achats.

UEM : un potentiel sous-exploité par les entreprises

Avec l’accélération de la transformation numérique des entreprises, l’intensification du travail à distance et l’évolution des enjeux de mobilité des collaborateurs, la possibilité de gérer et sécuriser les appareils des employés, quel que soit l’endroit où ils se trouvent, est devenue une priorité pour les directions informatiques.

Le développement de technologies de gestion unifiée des terminaux (UEM, Unified Endpoint Management) répond aujourd’hui à ces enjeux.

Toutefois, les technologies existantes pour prendre en charge le travail à distance et la mobilité en entreprise sont souvent sous-utilisées.

Près de 3/4 des DSI européens disposent déjà d’une solution UEM ou envisagent d’en adopter une. Pourtant, 1/3 des DSI européens ne font pas usage de fonctions avancées de sécurité, telles que la détection de menaces ou encore l’accès autorisé sous condition.

Les entreprises se privent par conséquent d’une bonne partie du ROI qu’elles pourraient retirer des technologies UEM.

Alors, comment les mettre efficacement à profit ?

(Source : "Le poste de travail de demain : notre grande enquête 2021", Adjungo)

Checklist des bonnes pratiques pour utiliser l’UEM à son plein potentiel

1. Adopter une technologie UEM, si ce n’est pas déjà fait

C’est bien sûr le point de départ. Les UEM sont accessibles à tous, y compris aux petites entreprises, qui peuvent profiter de logiciels avec des coûts initiaux limités et une licence variable selon l’utilisation.

2. Réaliser un “bilan de santé” de son UEM

Un point important pour améliorer son utilisation est de réaliser un audit de son utilisation de l’UEM en place pour identifier les fonctionnalités inutilisées et les domaines à améliorer en priorité.

3. Déployer une stratégie UEM sur trois ans

Établir une stratégie à moyen-long terme permet de bénéficier de fonctionnalités de sécurité et de gestion simplifiées pour divers types d’appareils à partir d’une unique plateforme.

4. Envisager le modèle BYOD (Bring Your Own Device)

C’est une des forces de l’UEM : il facilite la mise en place du modèle BYOD, qui permet aux employés d’utiliser leur appareil personnel dans le cadre professionnel, en toute sécurité et en cloisonnant applications et données. À l’arrivée, la réduction des dépenses est appréciable.

5. S’assurer de mettre à disposition des appareils adaptés au profil des employés

Chaque métier, poste, lieu de travail… a ses propres besoins en matière de matériel, connectivité, et forfaits mobiles. Il est donc important de fournir des appareils adaptés à chaque profil d’employés.

6. Gérer activement sa plateforme UEM

Pour exploiter un UEM à son plein potentiel, il ne suffit pas de l’installer… puis jamais l’ouvrir. Il est important de gérer activement son UEM, de même que sa flotte de mobiles, quelle que soit sa taille.

7. Coupler son UEM à un outil de gestion globale de flotte d’appareils mobiles

La cybersécurité et l’UEM sont des aspects importants de la gestion des flottes de mobiles, mais ils ne sont pas les seuls. En outre, les questions de gestion des utilisateurs/terminaux/lignes, de RSE et recyclage des appareils mobiles sont cruciales.

Pensez ainsi à vous équiper d’un outil global et interconnecté de gestion de flotte de mobiles comme MobileHub, qui vous simplifiera la vie bien au-delà de la cybersécurité.

8. Faire appel à un partenaire spécialisé, si besoin

Concevoir une architecture UEM adaptée à la nature de l’activité, veiller à sa cohérence permanente avec les objectifs de l'entreprise, former les administrateurs pour optimiser l’utilisation et le ROI de la technologie UEM…

Ce sont tout autant de sujets qui peuvent être difficiles à mettre en place en interne. Il ne faut alors pas hésiter à faire appel à un partenaire extérieur spécialisé en cybersécurité mobile au sens large et en gestion de flotte de mobiles.

Chez Betoobe, nous accompagnons au quotidien de nombreuses entreprises et organisations publiques dans le déploiement et la gestion de leurs flottes mobiles et technologies UEM. Contactez-nous dès aujourd’hui pour vous faire accompagner !

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Pourquoi et quand recycler ?

Chaque année, 50 millions de tonnes de déchets numériques sont produits dans le monde. 8 millions de smartphones sont jetés, et 100 millions d'appareils mobiles dorment dans des fonds de tiroirs.

Malheureusement, on s’imagine encore bien trop souvent que smartphones, tablettes et PC riment forcément avec déchets électroniques et pertes d’argent.

Même au sein des entreprises, les mobiles en fin de vie inutilisés restent fréquemment au fond des tiroirs. Des appareils mobiles tout à fait réparables sont mis de côté et remplacés par des téléphones neufs payés au prix fort (via un réengagement chez l’opérateur ou subventionnés et payés dans le prix de l’abonnement). Et d’autres appareils encore sont tout simplement jetés.

Pourtant, il existe aujourd’hui des moyens simples et efficaces pour limiter les déchets électroniques et l’impact environnemental négatif des flottes de mobiles.

Le recyclage est l’un d’entre eux, et il peut être mis en place en seulement 5 étapes.

Concrètement, le recyclage des flottes de mobiles, comment ça marche ?

Découvrez dans cet article le détail des 5 étapes d’une campagne de recyclage d’une flotte de mobiles 🎯

Les 5 étapes du recyclage des terminaux mobiles

1. Le point de départ : l’inventaire

L’inventaire de sa flotte est le point de départ de toute opération de recyclage. À cette étape, il s’agit d’évaluer :

L’inventaire peut se faire avec Excel ou directement via la plateforme MobileHub, dédiée à la gestion des flottes de mobiles.

Quel que soit l'outil utilisé pour réaliser l'inventaire, celui-ci est une étape essentielle et doit être mené avec soin, car de sa réalisation dépend la précision de l'estimation !

Avec notre modèle Excel, il ne vous faut plus que quelques minutes pour réaliser votre inventaire et préparer votre opération de recyclage !

2. L’estimation

Une fois le détail de l’inventaire transmis, une estimation est réalisée et vous permet d’évaluer ce que la valorisation de vos terminaux permettrait d’accomplir :

Toutes nos opérations et prestations sont réalisées en France. Nous générons ainsi rapidement une estimation de reprise qui vous garantit les meilleurs tarifs du moment.

Cette étape se fait sans engagement de votre part auprès de Betoobe : si vous estimez la valorisation insatisfaisante, vous pouvez bien sûr la refuser.

3. La collecte et la vérification

Une fois l’estimation acceptée, vous nous envoyez tous les appareils concernés, et nous les examinons pour vérifier que tout correspond bien à ce qui a été annoncé dans l’inventaire.

Cela implique un diagnostic complet : état extérieur, état de la batterie, état du CPU, etc. 

💡  Le saviez-vous ?
Contrairement à la plupart des prestataires du marché, Betoobe n’effectue pas de grading des appareils.

4. Le rachat

Après avoir vérifié que tout correspond bien à l’inventaire et à l’estimation, c’est le moment de la reprise. C’est ici que l’on rachète vos terminaux de manière effective.

5. La fin du cycle : le traitement

Dernière étape ! Une fois les appareils collectés et rachetés, on passe au vif du sujet : le traitement et la valorisation de vos appareils, soit en appareils reconditionnés, soit en recyclage.

Cela implique :

Les terminaux non reconditionnés seront recyclés avec notre réseau de partenaires, certificats DEEE à l'appui.

🔐 Betoobe s’engage pour la sécurité de vos données
Certificats à l'appui, nous garantissons l'effacement de vos données en accord avec le RGPD. Nos équipes sont formées à des processus et logiciels stricts et reconnus comme Blancco. L’effacement standard est également disponible.

Betoobe, votre partenaire engagé pour la RSE et le green IT

Allonger la durée de vie des appareils mobiles, c’est notre raison d’être.

De la PME aux grands comptes, en passant par les collectivités territoriales, Betoobe est votre partenaire privilégié pour votre engagement RSE lié à votre flotte de mobiles.

Avec Betoobe, ce sont 17 tonnes de déchets électroniques évitées chaque année depuis 2019.

Pour un impact maximisé, Betoobe s’engage à travailler avec des partenaires français et fait partie des membres Global Compact des Nations Unies et s’engage dans des objectifs concrets de développement durable.

Et si vous vous engagiez à nos côtés ?

Réalisez facilement votre inventaire avec la plateforme MobileHub.co ou notre modèle Excel d'inventaire

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L’augmentation et la diversification des cyberattaques

L’accélération des transformations numériques, le développement du télétravail marqué par la crise sanitaire, et les tensions internationales actuelles ont permis aux attaques informatiques de s’intensifier et de se diversifier.

Ces dernières années, vous avez probablement entendu parler :

Et les attaques informatiques ne concernent pas que les entreprises privées : elles concernent aussi les organisations publiques, les collectivités territoriales, les associations,…

Aujourd’hui, il est plus facile de manipuler des utilisateurs que d’attaquer directement une infrastructure informatique.

💡 Le saviez-vous ?

Les études soulignent que plus de 90 % des cyberattaques commencent par un lien malveillant, une fausse facture, une pièce jointe malhonnête… et un collaborateur qui tombe dans le piège !

L’utilisateur est en première ligne des cyberattaques. Les collaborateurs sont un point d’entrée privilégié pour les cyberattaquants.

Certes, le collaborateur est désormais une cible privilégiée, mais il peut aussi être un atout fort en matière de cybersécurité.

La mise en place d’une forte culture cybersécurité au sein des organisations est à présent essentielle, et elle repose sur 3 piliers complémentaires.

Les 3 piliers de la culture cybersécurité

Mettre les collaborateurs (et les dirigeants) au cœur de la culture cybersécurité

L’humain est le facteur #1 de la sécurité informatique et des cyberattaques. Il peut aussi devenir l’atout #1 en matière de prévention et protection contre les attaques s’il est mis au cœur de la stratégie et de la culture cybersécurité de l’organisation.

Pour développer une réelle « culture cybersécurité », il faut en revanche plus que quelques démarches pour sensibiliser et former les collaborateurs. Il est également important de ne pas surexposer les collaborateurs, au risque de les lasser et de les désintéresser du sujet de la cybersécurité. Trop de communication tue la communication.

La mise en place d’une culture doit être progressive et co-construite, sans s’imposer au collaborateur, pour pouvoir perdurer. Et pour des sujets aussi importants que la sécurité des données de l’organisation et des utilisateurs, une culture ancrée et durable est essentielle.

Aligner sa stratégie de cybersécurité à celle de son organisation

Un premier pilier pour construire une culture cybersécurité durable est de placer le collaborateur au cœur de la démarche. Mais pour que cela fonctionne, il est tout aussi important d’aligner sa stratégie de sécurité informatique à celle de son organisation. C’est le 2ème pilier essentiel.

Il en est donc de la responsabilité des dirigeants de co-construire stratégie cybersécurité avec l’ensemble des collaborateurs afin de créer une culture cybersécurité efficace.

Stratégie claire, objectifs atteignables et plan d’action réalisable sont essentiels à la mise en place d’une culture cybersécurité – au même titre que toute culture d’entreprise. La direction est un point central qui permet, ici, de faire le lien entre les aspects techniques (PSSI, RSSI, DSI,…) et les collaborateurs.

Communiquer sa vision et adapter son discours

Enfin, le dernier pilier, c’est la communication. Elle vient en complément de la stratégie et de la place centrale du collaborateur, et une bonne communication interne déterminera le succès de la mise en place d’une culture cybersécurité solide.

📈 Pour vous donner une idée :

61 % des collaborateurs ne comprennent pas le terme de « phishing »
31 % seulement connaissent les rançongiciels

Les éléments de langage sont le premier facteur qui pousse l’utilisateur à s’intéresser ou non à la cybersécurité. Il est donc essentiel, dans sa communication d’employer un discours qui sera compris par chacun, et dans tous les métiers (même la comptabilité et le commerce).

Un autre point important dans la communication est de diversifier les supports et les formats, à la fois pour toucher un plus grand nombre et pour mieux entrer dans les mémoires.

En résumé…

Ces dernières années, les attaques informatiques se sont intensifiées et diversifiées. Les collaborateurs sont désormais un point d’entrée privilégié pour les cyberattaques, loin devant les attaques directes contre les systèmes informatiques.

Par conséquent, la mise en place d’une solide « culture cybersécurité » auprès des collaborateurs est un chantier aujourd’hui crucial et impératif pour les organisations.

3 piliers sont essentiels pour cela :

Le collaborateur doit être placé au cœur de la stratégie, des actions, et de la communication autour de la sécurité informatique.

Seules les organisations qui ont compris ceux enjeux et réussiront à mettre en place une culture de la cybersécurité solide à toutes les échelles seront réellement protégées contre les cyberattaques et arriveront à en déjouer davantage.

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Implantée à Saint-Rémy-de-Provence, Betoobe enregistre une forte croissance en chiffre d’affaires et en emplois qui la conduit à se doter de nouveaux locaux sur la commune.

« Notre solution poursuit deux objectifs : allonger la durée de vie des téléphones mobiles et simplifier le quotidien de nos clients. S’ils nous confient tout ou partie de la gestion du cycle de vie de leur flotte d’appareils, ils peuvent se consacrer uniquement à ce qui fait la valeur ajoutée de leur activité », explique Sébastien Reverdy, président de Betoobe, qu'il a cofondé en 2018 avec Julien Fournier, directeur général.

Avec sa plateforme multilingue MobileHub, la société de Saint-Rémy-de-Provence est passée de 700 000 euros de chiffre d’affaires et 12 salariés en 2020 à 1,7 million d’euros en 2021 et vise cette année le cap des 3 millions d’euros. « Nous sommes 25 actuellement, nous devrions être 40 fin 2022 », assure le dirigeant qui prévoit un déménagement sur la commune, dans des locaux de quelques centaines de mètres carrés d’ici à la fin du premier semestre, même si toutes les ressources technologiques et commerciales ne sont pas concentrées dans les Alpilles, certains collaborateurs étant à Paris ou Toulouse. La start-up a déjà commencé à étoffer son encadrement pour se préparer à cette nouvelle phase de croissance.

Découvrez l'article complet de Jean-Christophe Barla dans Les Nouvelles Publications (mars 2022).

🌍 La place des réparations des appareils mobiles dans la sobriété numérique des entreprises

Les questions de sobriété numérique et de réduction des déchets électroniques sont de nos jours au cœur des discussions, et ce même au sein des entreprises.

Côté mobiles, les appareils mobiles (téléphones et smartphones, tablettes, PC) permettent de répondre à des problématiques toujours croissantes de mobilité, télétravail, et flexibilité, et sont devenus indispensables dans nos vies personnelles comme professionnelles.

Le numérique occupe ainsi une place importante de l’empreinte carbone de nos entreprises. En outre, la fabrication de nos appareils numériques représente :

Les enjeux pour allonger la durée de vie des appareils mobiles, notamment par les réparations, sont donc au plus haut.

💸 Le mythe persistant sur les réparations de terminaux mobiles

Malheureusement, un grand mythe autour de la réparation persiste : « les réparations, ça coûte cher ».

On entend souvent que les réparations coûtent cher, avec un exemple du type : « si j’achète un téléphone à 150€, ça me coute 120€ de réparer l’écran ».

Le problème en réalité, ce n’est pas le prix de la réparation en soi. Le problème vient surtout d’un manque de vision globale et d’un biais quant à la dépense immédiate, que ce soit pour les réparations de l’appareil ou pour son achat initial.

Car si on regarde le TCO (« total cost of ownership », le coût total de propriété) sur le moyen-long terme et non les dépenses immédiates sur le court terme et qu’on pense de façon globale, on se rend compte que oui, les réparations valent le coup (ou le coût !).

Et puis, il est aussi davantage pertinent d’aborder le sujet d’un point de vue utilisateur et non pas d’un point de vue appareil.

🧮 Faisons le calcul !

Prenons 2 utilisateurs, A et B, donnons-leur un appareil qui coûte initialement 150€ et 300€ respectivement, et regardons l’évolution du coût de chacun d’entre eux sur 24 et 36 mois :

Conclusion

On remarque ainsi qu’équiper un utilisateur d’un téléphone de meilleure qualité pour le double du prix n’implique pas un TCO doublé : on ne passe pas de 13€/mois de TCO à 26€/mois, loin de là !

Petite analogie : c’est comme acheter une paire de chaussures inconfortables (qui donne des ampoules etc.) à 10€ tous les ans pendant 5 ans, ou investir dans une bonne paire confortable qui coûte 60€ mais dure 5 ans et pourra même éventuellement être revendue 10€ (et ne donnera aucune ampoule pendant ces 5 ans)

Sur 36 mois, la différence de coût global par utilisateur (TCO) n’est, dans notre exemple, que de 6€ pour offrir à l’utilisateur B un appareil significativement meilleur que celui de l’utilisateur A.

On remarque aussi que l’utilisateur A passe par 2 étapes d’achat neuf sur seulement 24 mois, alors que l’utilisateur B n’en connait qu’une seule sur ce délai.

Les implications environnementales ne doivent pas être négligées : la fabrication et le transport des nouveaux appareils ont un fort impact environnemental négatif et sont très polluantes (en termes d’émissions de CO2 notamment). Les allers-retours des appareils envoyés en réparation et revendus sont aussi de forts émetteurs de CO2 (transport).

En outre, un téléphone de meilleure qualité dure plus longtemps car il est possible de le revaloriser ou de le remettre en circulation dans le parc de façon plus efficace qu’un téléphone à prix réduit.

Enfin, l’utilisateur B connait beaucoup moins d’étapes en 36 mois, pour son bien et celui du gestionnaire de flotte en charge.

La satisfaction utilisateur est plus élevée avec un appareil de meilleure qualité que l’on garde plus longtemps qu’avec plusieurs changements et réparations en l’espace de peu de temps

Le gestionnaire de la flotte de mobiles est lui aussi plus serein dans ce cas, à cause du nombre d’étapes et actions réduit par rapport à l’utilisateur A avec un téléphone de moins bonne qualité

👉 Pour résumer : investir dans des appareils de meilleure qualité permet d’assurer une meilleure satisfaction utilisateur tout en optimisant la continuité de service, et sans coûter un bras !

Il est donc plus intéressant d’investir dans des téléphones plus durables et de les faire réparer que de fournir à ses collaborateurs des appareils mobiles de moindre qualité ! 🚀

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